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Installation du nouveau Conseil scientifique du Parc du Géoparc

Constitué pour appuyer le Parc et Géoparc dans deux démarches d’ampleur, à savoir la rédaction de la nouvelle Charte 2024-2039 et la candidature au Géoparc mondial UNESCO, le Conseil scientifique a vu son premier mandat prendre fin en décembre 2024. Il a été partiellement renouvelé pour une nouvelle période de 2025 à 2030, afin de poursuivre l’accompagnement du Parc et Géoparc dans la mise en œuvre de sa nouvelle Charte ainsi que l’animation de son label Géoparc mondial UNESCO.

Composition éclectique du Conseil scientifique

S’il peut être constitué de 20 membres au maximum, il est aujourd’hui composé de 14 membres, universitaires actifs ou retraités, dont les champs de recherche sont larges : géologie, archéologie, agronomie, écologie du paysage, climatologie, géographie (sociale, rurale, environnement et risques), biologie, hydrologie, sociologie, ethnologie, psychologie sociale.

Olivier Cantat, géographe et climatologue à l’Université de Normandie (Caen), en est le nouveau Président, épaulé dans sa mission par David Montembault, vice-Président et agronome spécialisé en écologie du paysage à l’Institut Agro Angers.

Retrouver la liste complète des membres du nouveau Conseil scientifique sur la page dédiée.

Quel est son rôle ?

La mission du Conseil scientifique est d’accompagner le Parc et Géoparc dans la mise en œuvre de sa nouvelle Charte en proposant des réflexions autour de thématiques précises. Il se porte caution des travaux menés par le Parc et Géoparc en y apportant un appui méthodologique ou une vérification, tout en guidant ses actions et ses champs de réflexions. Les membres peuvent même, sur sollicitation du Président du Parc et du Géoparc, rendre des avis ponctuels.

L’objectif de ce Conseil scientifique est aussi de permettre aux territoires d’avoir une connaissance plus fine des enjeux auxquels ils sont confrontés. Il leur permet de mieux comprendre l’environnement dans lequel ils s’inscrivent et les phénomènes qui y sont à l’œuvre. Cela permet de donner matière aux pouvoirs publics pour répondre au mieux aux enjeux d’érosion de la biodiversité et de changement climatique, à travers leurs politiques publiques et l’action locale en général.

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